La psychologie positive pour être bien dans ses baskets

La psychologie positive
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La psychologie positive fait référence aux facultés qui sommeillent en chacun de nous. Les enfants et les ados y sont réactifs. Laetitia Gangloff, spécialiste en neurosciences, coach et formatrice en France et à l’IFEN au Luxembourg, nous parle des bienfaits de cette science du bonheur.

« Je n’y arrive pas, je baisse souvent les bras, j’ai peur de me lancer… » Qui n’a jamais été submergé par ce genre d’angoisses? Ni psychologue, ni thérapeute, Laetitia Gangloff est là pour réveiller quelque chose qui sommeille en chacun de nous. Elle a fait de la psychologie positive sa force pour aller de l’avant. « Dans la vie, il y a du stress, mais aussi une multitude d’émotions. On est dans une course à la réussite, on recherche constamment la performance. » C’est à partir de ce constat que l’ancienne commerciale a eu un déclic et s’est formée dans les neurosciences et la psychologie positive. 

La réponse est en nous

« La psychologie positive est un précieux allié face à la souffrance. Elle facilite la connaissance de soi et permet d’accéder au bien-être, sans pour autant nier le négatif. J’interviens auprès d’enfants, mais aussi en entreprise car le stress, l’absence de motivation existent à tout âge et représentent un réel coût pour les employeurs. Mon rôle consiste à faire un bilan, à réveiller les pépites qui sommeillent en chacun de nous. On a déjà tous réussi quelque chose, on doit se dire qu’on est capable et ne jamais rester sur un échec. Avec les ados, c’est passionnant car, comme les enfants, ils n’ont pas encore les facultés cérébrales à prendre du recul, à comprendre leurs émotions. »

On se compare naturellement aux autres et cela génère des frustrations chez l’enfant. « Il sera en colère mais on peut éviter la crise en communiquant, en faisant preuve d’empathie mais aussi en le responsabilisant. » On se construit sur des expériences de vie.

La résilience, c’est la clé

La psychologie positive, laetitia gangloff

« J’ai mené un programme inédit au Luxembourg intitulé Spark Résilience ados. Le but? Les accompagner pour leur permettre de mieux se connaitre, mieux comprendre leurs émotions et développer ainsi la résilience. Une échelle de mesure d’estime de soi a montré une nette amélioration entre la mesure avant et après le programme : tous les participants avaient augmenté leur estime d’eux-mêmes. »

La résilience, c’est la faculté à se rappeler qu’on a les capacités en nous pour réussir. Pour y parvenir, il faut se connecter à ses ressources. Cela s’apprend à tout âge et repose sur un état d’esprit qui passe par une prise de conscience : tu es, tu as, tu peux et tu aimes. « Tout cela s’inscrit dans la psychologie positive, que je propose en séances, mais aussi lors de formations et de conférences depuis un an et demi. »

La résilience, c’est la faculté à se rappeler qu’on a les capacités en nous pour réussir.

Article composé par Sabrina Frohnhofer

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