L’homéopathie pour accompagner toutes les étapes de la grossesse

L'HOMÉOPATHIE POUR ACCOMPAGNER TOUTES LES ÉTAPES DE LA GROSSESSE
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L’homéopathie offre une approche naturelle et douce pour accompagner les femmes à chaque étape de leur grossesse, offrant un soulagement et un bien-être sans compromettre la santé du bébé à naître. Découvrez comment cette pratique séculaire peut être un allié précieux pour les futures mamans.

La grossesse, une aventure hors du commun

 Temps à part dans la vie d’une femme, et d’un couple, la grossesse véhicule son lot de découvertes et d’émerveillements mais aussi d’appréhensions et d’angoisses parfois. La crainte de ne pas avoir un enfant en bonne santé et de ne pas être à la hauteur est partagée par la plupart des futurs parents. Aujourd’hui, de nouveaux paramètres contribuent aussi à augmenter l’inquiétude indissociable de cette aventure extraordinaire.

Grossesse : une nouvelle géographie!

Depuis plusieurs années, la donne a changé. Etudes, réalisation professionnelle… expliquent notamment pourquoi les femmes font des enfants plus tardivement, en moyenne après 30 ans. Or, comme la fertilité féminine optimale se situe entre 20 et 25 ans, et que le sperme est de moins en moins bonne qualité, bon nombre de grossesses tardent à s’annoncer et conduisent certains couples, et femmes seules, sur le difficile parcours de la Procréation médicalement assistée (PMA). Plus rares et donc plus précieuses, ces grossesses placent souvent la future mère sous surveillance renforcée, au risque de générer chez elle plus de stress et de voir augmenter certains symptômes (nausées, angoisses, contractions…).

En 2000, les femmes devenaient mères à 29,2 ans en moyenne, à 31,2 ans en 2020.

Médicaments et grossesse : Le droit au «quasi rien»

 Nausées, douleurs articulaires, troubles de la circulation, de la digestion… forment souvent le cortège des « joyeusetés » physiologiques de la grossesse. Indicateurs tout à fait normaux des transformations à l’œuvre, ces symptômes peuvent devenir des fauteurs de troubles à la limite du tolérable. Or, pendant la grossesse, bon nombre de substances toxiques peuvent passer de la mère au bébé et augmenter les risques tératogènes ou susceptibles de causer une malformation chez les enfants exposés in utero. Surtout durant les trois premiers mois, période de l’organogénèse, (formation des organes du bébé). Pour limiter ce risque, il ne faut jamais prendre de médicaments par voie interne (orale, vaginale, rectale) mais aussi en application locale (crème, pommade) sans l’avis d’un professionnel de santé.

En cas de doute et avant toute prise de médicaments, il est nécessaire de demander conseil à un professionnel de santé. Il est aussi possible de vérifier sur le site du CRAT (centre de référence sur les agents tératogènes), un service d’information sur les risques des médicaments, vaccins, radiations et dépendances pendant la grossesse et l’allaitement. www.lecrat.fr

L’homéopathie, une thérapeutique respectueuse de la santé de la femme et du futur enfant

L'HOMÉOPATHIE POUR ACCOMPAGNER TOUTES LES ÉTAPES DE LA GROSSESSE, boiron

Que faire pour soulager tous les petits maux traditionnels : nausées, reflux, douleurs ligamentaires, anxiété…, ainsi que les pathologies intercurrentes : rhume, rage de dents, gastro…, lorsqu’une prise de médicament peut s’avérer contre-indiquée pendant la grossesse ?

Sans risque d’interactions médicamenteuses et dépourvue d’effets secondaires graves connus, l’homéopathie offre une solution thérapeutique polyvalente, adaptée à la future maman et au futur bébé. Elle pourra accompagner la future mère, du désir d’enfant, pendant toute la grossesse et ce, jusqu’au post partum, pour lui permettre de vivre cette aventure extraordinaire le plus sereinement possible. Le conseil d’un professionnel de santé (pharmacien, médecin ou sage-femme) étant requis au préalable.

Grossesse et homéopathie, le bon duo en cas de maux

Si elle donne des ailes, la promesse d’un enfant ne protège pas pour autant la future mère de tous les petits maux physiologiques de la grossesse. Nausées, dorsalgies, constipation, insuffisance veineuse… : auxquels peuvent s’ajouter d’autres troubles sans lien direct avec la grossesse : rage de dent, toux, nez bouché, rhume des foins…

Mais comme la femme enceinte n’a droit à quasi rien, se soigner devient compliqué ! Et cela l’est d’autant plus pour les femmes au suivi renforcé soit parce qu’elles sont plus à risques : âge, grossesse multiple, diabète gestationnel, hypertension…. soit parce qu’elles sont atteintes d’une pathologie aux traitements lourds : sclérose en plaques, maladie de Crohn… Entre l’angoisse des risques d’interaction médicamenteuse et la symptomatologie traditionnelle de la grossesse, c’est la double peine !

L’homéopathie, alliée de toutes les étapes de la grossesse

 Respectueuse du développement du bébé et sans contre- indication connue, l’homéopathie accompagne l’organisme et l’aide à aller mieux. Grâce aux médicaments unitaires ou aux spécialités homéopathiques, elle offre des solutions thérapeutiques globales s’attachant à l’individu, son terrain et aux manifestations spécifiques de ses symptômes. Par exemple, Il n’y a pas une mais différentes réponses homéopathiques possibles aux nausées.

L’homéopathie permet d’accompagner la femme, et le couple, aux plans physique et psychologique, dès le désir d’enfant, tout au long de la grossesse et ce jusqu’au post-partum !

AVANT

Dès que le désir d’enfant devient concret, les raisons de se tourner vers l’homéopathie ne manquent pas.

Après 30 ans, les ovulations peuvent être de moins bonne qualité et les cycles perturbés. Ces dysfonctionnements  savent  être  améliorés  et  corrigés  avec  des  dilutions hormonales homéopathiques. En cas d’hypofertilité masculine et aussi pour accompagner un parcours de Procréation médicalement assistée (PMA), certains médicaments homéopathiques peuvent être prescrits.

L’homéopathie prépare aussi la future mère mais aussi l’autre futur parent, à accueillir une grossesse, notamment en soutien au sevrage de tabac, alcool, somnifères…

Elle accompagnera également les troubles anxieux, souvent très présents chez les femmes en projet de grossesse solo ou tardive, mais aussi chez le conjoint.

PENDANT

Physiologique la plupart du temps, la grossesse modifie toutefois le fonctionnement de l’organisme, déclenchant l’apparition de symptômes normaux tels que fatigue, nausées, vomissements, reflux… L’homéopathie sait les prendre en charge dès leur apparition pour les empêcher de devenir insupportables, y compris durant l’organogénèse (1er trimestre), contrairement à certains médicaments conventionnels qui, en raison des risques tératogènes, ne sont prescrits qu’en dernier recours.

Bénéfique pour la symptomatologie traditionnelle de la grossesse :

– Nausées, vomissements, troubles de la digestion (reflux, brûlure, transit paresseux…), de la circulation (jambes lourdes, crise hémorroïdaire…), douleurs articulaires et ligamentaires, acné…

L’homéopathie sait l’être aussi pour des registres variés. Elle ne manque pas de solutions en cas d’anxiété, stress, insomnie et pathologies non directement liées à la grossesse : affections ORL, allergies saisonnières, gastro-entérite, soins dentaires, interventions chirurgicales…

L’ACCOUCHEMENT

Une fois le terme atteint, l’homéopathie sait donner un coup de pouce à l’organisme. Elle permet notamment de différencier le faux-travail d’une dystocie de démarrage (absence de modification du col en début de travail). Dans le cadre d’un faux-travail, les contractions tout en étant douloureuses ne s’accompagnent pas d’une modification du col et vont finir par s’estomper. Par contre, en cas de dystocie de démarrage, le travail a bien débuté mais le col tarde à s’ouvrir. Uniquement après avoir été examinée, la prise d’un médicament homéopathique (le même dans les 2 cas) va, soit stopper les contractions soit favoriser l’ouverture du col et donc l’accouchement !

Pendant l’accouchement par voie basse, l’homéopathie contribuera à la dilatation du col, accélèrera ou relancera le travail en cas de blocage.

Les suites d’accouchement

Après une césarienne, des médicaments homéopathiques vont permettre à l’organisme de récupérer de l’intervention chirurgicale, de mieux se remettre de l’anesthésie et de l’intervention. D’autres vont favoriser la cicatrisation, y compris pour les naissances par voie basse, sous péridurale et avec épisiotomie. Dans les deux cas, certains d’entre eux vont aider l’utérus à reprendre sa forme ainsi qu’à répondre aux différents traumatismes du bébé liés à sa naissance : spatules, forceps, siège…

 L’action globale de l’homéopathie va booster l’organisme, améliorer la qualité de la montée laiteuse puis stimuler la lactation, accompagner les complications de l’allaitement (douleurs, crevasses, engorgement…) ainsi que le sevrage précoce.

L’homéopathie sait aussi apporter des réponses en cas de baby-blues.

Grossesse et homéopathie, qui consulter ?

 Alliée de la grossesse du début jusqu’à la fin, l’homéopathie n’est pas pour autant une thérapeutique à prendre à la légère. Si elle est sans effets indésirables et sans interactions médicamenteuses connus, elle comporte tout de même le risque de la mauvaise indication. Afin de ne pas confondre un symptôme pathologique comme des contractions avant-coureuses d’un accouchement prématuré, avec de banales contractions physiologiques, il ne faut pas se laisser tenter par l’automédication. En cas de symptômes un diagnostic précis est nécessaire et cela justifie souvent une consultation. Il faut donc toujours prendre l’avis d’un professionnel de santé, seul expert habilité à différencier le normal de l’anormal !

Ainsi, médecins, généralistes et spécialistes, sages-femmes et pharmaciens, ayant suivi une formation en homéopathie, vont pouvoir prescrire les traitements appropriés pour soulager les symptômes avec des médicaments unitaires ou des spécialités, en première intention.

Ensuite, pour définir le terrain et avoir une approche individualisée, une consultation dédiée avec un entretien auprès d’un médecin ou d’une sage-femme, spécialisés en homéopathie sera nécessaire. Cette consultation permet souvent de trouver le médicament de fond qui saura soulager différents symptômes au cours de ces neuf mois.

GROSSESSE ET HOMEOPATHIE, QUI CONSULTER ?, boiron
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Deux types de médicaments homéopathiques

En homéopathie, on distingue deux familles de médicaments homéopathiques :

 >> Certains ne portent ni indication thérapeutique, ni posologie, ni notice d’emploi. La raison ? En homéopathie, un même médicament peut traiter différents symptômes (troubles digestifs, insomnie, douleurs articulaires par exemple) et un même symptôme (la toux par ex) peut être traité avec des médicaments différents, choisis en fonction du patient. C’est au professionnel de santé qu’il revient de déterminer lesquels prendre et comment.

Ils se présentent souvent en tubes et en doses (formes traditionnelles de l’homéopathie) et sont désignés par leur nom latin (ex Arnica montana 9 CH ou Nux vomica 15 CH). Les granules ou globules sont faciles à prendre (avec ou sans eau), si possible en dehors d’un repas. Il est recommandé de les laisser fondre dans la bouche afin de faciliter leur absorption.

>> D’autres portent une indication thérapeutique. Leur composition (une combinaison de plusieurs substances actives homéopathiques dans la plupart des cas), a été mise au point pour traiter un problème donné : nausées et vomissement, crevasses du mamelon, etc. En se reportant à la notice ou à l’emballage, le patient est à même de savoir dans quel cas le prendre.

Ces médicaments se présentent le plus souvent sous forme de comprimés, gels, pommades, sirops, collyres… Ils ne portent pas de nom latin mais un nom de marque rattaché au laboratoire qui en est propriétaire.

De nombreuses complémentaires santé continuent de rembourser les médicaments homéopathiques. Il faut se renseigner auprès d’elles pour s’assurer que l’homéopathie fait partie du contrat souscrit.

Communiqué de presse des Laboratoires Boiron.

Lisez d’autres articles des Laboratoires Boiron sur notre site.

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