Les cancers féminins, on en parle ? Soigner sans nuire grâce à une approche globale et individualisée est la raison d’être des Laboratoires Boiron. Fidèles à leurs valeurs, ils s’engagent pour la santé des femmes en leur consacrant une série de communications régulières et ciblées.
Chimiothérapie, chirurgie, radiothérapie, hormonothérapie, immunothérapie et thérapies ciblées ont fait ces dernières années d’importants progrès dans la prise en charge des cancers, notamment dans ceux touchant directement les femmes. Unique option médicale pour combattre les cellules cancéreuses, ces protocoles de soin augmentent clairement la quantité de vie et les espoirs de guérison mais ils sont aussi la cause d’effets indésirables. Bouffées de chaleur, nausées, neuropathies, brûlures…
Invalidantes, ces manifestations viennent s’ajouter à la liste de désagréments engendrés par la pathologie – anxiété, dépression, douleurs variées, fatigue… – Pourtant essentielle dans la traversée de cette épreuve, la qualité de vie s’en voit considérablement altérée. Cependant, il est possible de mieux supporter la maladie et les effets délétères des traitements, grâce à une prise en charge globale, intégrative, associant traitements conventionnels anticancéreux et médecines complémentaires, où l’homéopathie à toute sa place !
Cancers féminins, qu’est-ce que c’est ?
Sont qualifiés de féminins, les cancers touchant spécifiquement la femme, avec en ordre décroissant en Belgique les cancers du sein, du corps de l’utérus, des ovaires, du col de l’utérus1. Pour l’année 2021, il y avait 11 319 cas de cancers du sein en Belgique1.
Surpoids, papillomavirus, tabac, traitements hormonaux ainsi que des mutations génétiques sont, entre autres, des facteurs de risques prédisposant à certains cancers féminins. A l’heure actuelle, la prise en charge pour combattre les cellules cancéreuses repose uniquement sur des traitements tels que chimiothérapie, chirurgie, radiothérapie, hormonothérapie, immunothérapie et thérapies ciblées. S’ils augmentent les espoirs de guérison, ces protocoles engendrent toutefois des effets secondaires à l’impact parfois sévère et durable sur la qualité de vie des patientes. L’étude VICAN5 a révélé que 5 ans après leur diagnostic de cancer, 48,7% de personnes souffrent toujours de fatigue et 73% ont eu des douleurs dans les quinze derniers jours.
L’homéopathie en soin de support
S’il n’y a évidemment pas d’alternative à la médecine oncologique, il est possible, dans le cadre d’une prescription médicale, de lui associer des soins de support qui regroupent différentes thérapeutiques complémentaires, afin de favoriser le mieux-être des patientes. Mieux supporter les effets de la maladie et des traitements, améliorer l’état physique et psychologique ainsi que la qualité de vie sont possibles grâce à cette approche intégrative où l’homéopathie a toute sa pertinence !
En effet, l’homéopathie permet une approche adaptée à chaque individu en fonction de ses spécificités, de l’expression propre de ses symptômes et s’intègre donc parfaitement dans une prise en charge globale des personnes atteintes de cancer. Elle est sans interaction médicamenteuse connue avec les traitements conventionnels anticancéreux, comme l’a démontré l’étude Kassab.
Grâce aux médicaments homéopathiques à nom commun (HNC) et/ou aux spécialités, elle peut offrir de nombreuses solutions à toutes les étapes de la maladie. Et ce dès l’annonce, en péri-opératoire, en cours de chimiothérapie, radiothérapie, immunothérapie, thérapies ciblées mais aussi dans le post-cancer !
De nombreux effets secondaires liés aux traitements anticancéreux tels que les bouffées de chaleur, les nausées, les radiodermites pourront être soulagés par des médicaments homéopathiques. Efficace aussi pour soulager les différentes douleurs (cicatricielles, neuropathiques, articulaires…), la fatigue, les affections cutanées… l’homéopathie apporte de nombreuses réponses pour améliorer l’état général et la qualité de vie de l’individu et lui permettre de cheminer plus sereinement durant ce temps de vie particulier.
Vers qui se tourner ?
Pharmacien, oncologue ou médecin traitant peuvent tout à fait conseiller de l’homéopathie en complément des traitements conventionnels. Une consultation homéopathique spécialisée sera nécessaire pour trouver un médicament de terrain et ainsi aider la personne à se rééquilibrer pendant la maladie puis en post traitement !
Et aussi…
Privilégier une alimentation équilibrée et veiller au risque de dénutrition. Pratiquer une activité physique adaptée régulièrement. Recourir aux différents types de soutiens psychologiques (psychologue, sexothérapeute…) ainsi qu’aux différentes techniques favorisant la gestion du stress, comme la cohérence cardiaque par exemple.
Le Dr Theunissen conclut « la mise en place de soins de support doit être discutée entre le médecin traitant, l’oncologue, le médecin en charge des soins de support et le patient. Cette discussion doit intervenir dès le début du traitement, pour empêcher une automédication non-contrôlée, l’abandon des traitements conventionnels efficaces ou que certains patients ne se tournent vers des non-médecins. »
Communiqué de presse des Laboratoires Boiron